Pourquoi retraduire les classiques ?
Depuis quelques années, on voit fleurir sur les tables des libraires des bandeaux vantant la nouvelle traduction d’œuvres classiques.
Quels critères prévalent dans le choix des œuvres à retraduire, à remettre au goût du jour ?
Quels sont les enjeux pour la traductrice ou le traducteur chargé de cette mission ?
Participe-t-elle à une meilleure mise en valeur du travail de traduction ?
Le public est-il réellement sensible à la retraduction d’une œuvre ?
Pour répondre à ces questions, l’ATLF a souhaité convier autour de la table
- une maison d’édition, Gallmeister,
- une traductrice, Véronique Béghain
- une libraire, Sophie Manceau de L’Arbre du voyageur, à Paris.
Leur conversation sera modérée par Dominique Chevallier. Avec Ekaterina Koulechova, Véronique Béghain, Sophie Manceau